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LE BONHEUR

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Le bonheur est un jour entré dans ma vie comme une vague déferlante qui m’a surprise alors que je ne l’attendais pas. Je ne pouvais pas l’attendre car je ne savais même pas que le bonheur existait. Il est vrai qu’il est souvent mentionné dans la littérature ou même dans des phrases dites par des connaissances, mais sans l’avoir vraiment rencontré, nul ne peut en savoir le parfum, la texture, la dimension, la passion qu’il déchaine.
Il faut en apprécié la préciosité car il peut être éphémère si nous n’en prenons pas le plus grand soin. Il se présente sous des formes différentes, mais chaque moment en sa présence fait de vous la plus heureuse des personnes et vous aide à vous épanouir. Le bonheur est souvent comme un souffle chaud qui nous met le feu aux joues, nous câline tendrement comme si nous étions enveloppés d’un voile opaque qui nous laisse seulement entrevoir ce que la vie peut être.
Le bonheur est subtil et pétillant comme un champagne dans une coupe couverte de givre, simple comme un regard posé sur vous avec amour et bienveillance, gigantesque tel le présent que l’on vous glisse dans le creux de votre main et que vous acceptez les yeux fermés avec confiance……..
Certes, c’est aussi un apprentissage qui demande beaucoup de réflexions et de sagesse afin que cette onde sensuelle et enivrante reste imprégnée en vous jusqu’à votre dernier souffle ………………….. Le bonheur

NL

LES ENFANTS

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LES ENFANTS
Les enfants, ce grand mystère ………………..
La terre est peuplée d’individus que nous nommons humains qui arrivent sur la planète grâce à la reproduction des êtres, débarquant sous la forme de monstres sans cou, hurlant, gigotant sous l’appellation de « Bébé » mais qui en vérité sont des enfants. Mais ça tout le monde le sait. L’endoctrinement commence pour les petites filles très tôt, on leur offre des poupées pour qu’elles jouent à la maman et si elles sont bien sages tout un arsenal pour faire le ménage ou de la cuisine. Comme toutes les petites filles, j’ai reçu ces « merveilleux cadeaux » pour faire de moi une parfaite ménagère qui pondra des enfants au moment venu dans sa vie d’adulte. Mais, j’avoue que les poupées n’étaient pas vraiment mon truc, je leur préférais des tirs aux pigeons avec des fusils équipés de flèches ventouses et des circuits 24. En grandissant, adolescente, je m’étonnais toujours de voir les filles de mon âge, s’extasier devant ces êtres morveux en gâtifiant comme des dindes. Je ne comprenais pas ce qu’elles pouvaient trouver de charmant et de “mignon”. Bref, je n’étais vraiment pas attirée par la maternité mais la vie vous rattrape et vous finissez par vous retrouver dans le même schéma de vie que vos parents ont tracé ainsi que les parents de vos parents etc……
Dés que l’enfant sort de votre vagin, vous pensez que vous êtes la plus heureuse du monde que jamais vous ne connaitrez de plus grande joie, c’est un peu comme un trophée que vous avez conçu de A à Z car, à la limite, le père a mis un peu du sien mais qu’est-ce après avoir porté pendant neuf mois ce petit rejeton qui vous a provoqué des insomnies, des brulures d’estomac et tout ce qu’une grossesse peut engendrer. Nous, mères, sommes dans une béatitude juste avant qu’arrive le fameux « Baby Blues » qui nous fait pleurer comme des veaux, provoquée par la chute hormonale. Les cheveux tombent par poignées, on se sent grosse et grasse, l’allaitement, si vous le pratiquez, n’aide pas non plus : Fuites de lait, gerçures au niveau des mamelons, montées de lait douloureuses. Lorsque les parents offrent des poupées à leurs petites filles, ils devraient aussi leur fournir un récapitulatif de ce qui les attend dans un futur proche.
Comme toutes les femmes, je suis passée par cette « phase », pensant que c’était indispensable pour être heureuse, que mes bébés m’apporteraient toujours un amour que rien ne pourrait détruire. Personne n’a le bon mode d’emploi pour être la meilleure mère, chaque individu reproduit ce qu’elle a vécu dans son enfance, certes, mais moi je l’ai fait en améliorant et en donnant tout ce que je n’avais pas eu. Mais, c’est aux enfants qu’il faudrait plutôt donner une « charte du respect de ses géniteurs ». Nous sommes dans un monde de consumérisme, où tout devient très vite obsolète même nous parents. Nous sommes les otages de ses petits êtres, qui en grandissant, nous piétinent le cœur et l’âme sans pitié, oubliant tout l’amour que nous leur avons donné.
Ce qui me console, dans un sens, sans vraiment me consoler, c’est qu’un jour lorsque la roue aura tourné, ils seront confrontés au même schéma qu’ils auront créé et que la vie se chargera d’eux. J’avais un jour vu un épisode de “South park” où la mère de Cartman voulait se faire avorter, mais trop tard, tellement sa déception était grande face à son rejeton, maintenant je comprends sa démarche mais je pense que l’oubli sera plus salutaire dans ma situation……………..

La première impression

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         C’est la première impression qui compte et rien ne pourra contredire cette adage. Parfois, nous nous laissons le droit de croire que nous nous sommes trompées mais ne nous leurrons pas, la réalité nous réveille souvent mais trop tard. Je l’ai vécu à plusieurs
reprises dans ma vie et je pense que ces rencontres qui auraient du être improbables réitéreront encore. Parmi mes amies du sexe féminin, ou plutôt connaissances, je traine des boulets, tout ça par gentillesse, pour ne pas les froisser en leur disant mon ressenti mais quand les choses ne se mettent pas en place dés le début de la rencontre, c’est que la situation est déjà morte et rien ne pourra changer cet état de fait. Les êtres nuisibles, nous vampirisent, nous impactent dans nos vies et laissent parfois de vives blessures que nous n’aurions pas soupçonné possible tellement elles peuvent être corrosives. Un simple coup de téléphone, une mauvaise interprétation peuvent aussi remettre en question toute votre vie, détruire tout ce que vous avez construit, et la personne qui aura contribué à vous fracasser le cœur et l’âme, continuera sa non vie, se sentant importante dans sa démarche et ignorera par sa médiocrité du mal causé.
          Il y a aussi, la mauvaise personne qui entre dans votre vie, jouant à ce moment là sur votre fragilité, votre intégrité tout en jaugeant votre statut social, votre physique, votre beauté, vos biens matériels tel un prédateur qui a trouvé sa proie. En générale, il est du genre gentil, adorable et prévenant au tout début de la relation, vous amadouant, vous flattant pour vous endormir, vous bercer d’illusions et de promesses qui ne seront nullement tenues par la suite. Une fois installé, dans votre vie, votre maison, rien ne pourra le faire sortir. Violences et harcèlements psychologiques, débuteront progressivement et lorsque votre famille et vos connaissances seront éliminées de votre vie, les coups feront parti du quotidien. Une amie psychologue m’a expliqué que rien ne peut raisonner ce genre d’individu, il trouve la faille, la fragilité de sa proie et rien ne peut le faire changer, seule la fuite peut vous sauver tout en sachant que jamais vous ne pourrez jamais être sur qu’il ne vous abattra pas un soir lorsque vous rentrerez dans votre nouveau « chez vous ». Ces personnes nous côtoient et restent impunies
malheureusement
        Dans la catégorie perverse narcissique, il y aussi des femmes. Pour l’instant, elles ne sont pas vraiment reconnues dans notre société car les hommes qui vivent des expériences similaires à celles vécues par les femmes, sont aussi fragilisés par leur bourreau mais ne le reconnaitrons pas, craignant d’être ridicules. Ma première impression a été la bonne, quand j’en ai croisé une. J’ai senti qu’elle était fausse, comment une personne qui se cache au tout début d’une rencontre peut-elle être honnête. Mon sixième sens avait bien raison mais je n’en dirais pas plus pour le moment car même si cette personne est entrée dans ma vie par le biais d’une personne affiliée à ma famille, j’ai réussi pour le moment à l’éloigner de moi. Mais je sais que cet être nuisible sera toujours prêt à me nuire, si je lui en laisse l’opportunité. Donc, il faut vraiment se fier à sa première impression et surtout ne plus se laisser berner par de belles paroles en suivant son instinct……………………..
À mes amies fidèles : kitkat, Mimi et mon petit papillon …………..

Les vendanges

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                                                                     LES VENDANGES

Introduction

« Les vendanges » ! Tout le monde en a entendu parlé, en a même rêvé mais tant que nous ne l’avons pas pratiqué, je pense que chacun s’en fait une idée fausse.

En cette période, que je dirais sabbatique, car les circonstances de ma nouvelle vie ne me permettant pas de reprendre une activité professionnelle, j’avais du temps et de l’énergie à revendre. Je végétais tel un légume en me demandant ce que je pouvais faire, dés le réveil, à part me promener avec cookie dans les ruelles de Poitiers, aller à la piscine ou pleurer sur mon sort. C’est vrai que j’étais à plaindre ! Je me retrouvais dans une ville que je ne connaissais pas, il faisait toujours beau et chaud, j’avais un appartement, certes petit, mais lumineux et mon frigidaire était plein. Malgré tout, j’étais là, à me lamenter. L’année passée avait été tellement intense dans sa diversité d’activités que tout me semblait si fade que je n’arrivais plus à me rendre compte à ce moment là, de la chance que j’avais de pouvoir me poser et de pouvoir vivre. Il est vrai que ma bibliothèque me manquait, car il n’est pas si facile d’effacer de sa mémoire dix sept années de bons souvenirs vécus. Je m’étais aussi attachée à mes petits lecteurs, un public vieillissant, fidèle que je me faisais une joie de retrouver lors de mes permanences. Ma collègue Michelle aussi me manquait car nous étions comme un vieux couple qui avait traversé le temps sans qu’aucun nuage de vienne perturber notre entente et nous avions la même philosophie de vie: « Tant que le plaisir perdurait à travailler à la médiathèque, pas de démissions. » Et c’était vraiment avec bonheur que je me posais lors de ces moments, que je qualifierais de plaisants dans mon fauteuil de responsable de médiathèque.Et, tout à coup, je n’étais plus rien. Dans cette ville, je devenais insignifiante, invisible, inconnue et seule avec pour seule compagnie une adolescente que j’avais eu la « bonne idée » de concevoir treize ans plus tôt et Cookie ma chienne qui se révélait être une vraie citadine lors de nos promenades journalières ……….

Bref, je m’éloigne quelques peu de mon sujet, mais cette introduction est la pour vous situer dans quel état d’esprit j’étais quand je reçue un SMS me disant : « C’est bon, tu peux arriver demain, tu es inscrite pour les vendanges. »

À SUIVRE……….

Exister, si on ne prend pas ce terme en un sens banal, ne peut se faire sans passion. Kierkegaard, Post-scriptum aux miettes philosophiques.

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Les passions sont le propre de l’homme : un animal ne peut avoir de passions. L’existence humaine ne peut pas se développer sans poursuivre de buts, et de tels buts sont fournis par les passions, quelles qu’elles soient. Inversement, exister sans passion, ce serait tout simplement survivre, dans une vie qui n’aurait plus de sens. Même une existence vouée à cultiver sa raison est une existence passionnée, dans la mesure où la pensée est elle aussi passionnante.

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Bibliothèques et documents numériques .

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Concepts,composantes ,techniques et enjeux . Alain Jacquesson et alexis Rivier .
Nous commençons tout juste a prendre conscience des implications intellectuelles et économiques des bibliothèques numériques .A peine nées ,les voilà déjà entourées de mythes .La plus tenace est qu’internet va remplacer les bibliothèques traditionnelles ,qui seraient vouées a disparaitre .Mais il n’en ai rien ,c’est seulement un nouvel espace documentaire ,intégrant de façon continue papier et électronique ,qui est en train de voir le jour . Ce livre présente pour la première fois en français une synthèse sur cette vaste « problématique » . Nathaliothecaire .

La traque du vampire

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De Michael Baden et Linda Kenney .

Présentation de l’éditeur

New York, 2009. Un tueur en série sème la terreur dans la ville. Parce qu’il a la particularité de recueillir le sang de ses victimes, on l’a surnommé  » le Vampire « . Le docteur Jake Rosen, médecin-chef de la municipalité de New York, et Manny Manfreda, l’astucieuse et flamboyante avocate, vont tenter de résoudre cette étrange affaire. En remontant la piste du tueur grâce à des méthodes aussi efficaces que peu conventionnelles, Jake et Manny découvrent une sombre histoire aux ramifications internationales. Plongés dans un drame où se mêlent corruption, pelotons d’exécution et, surtout, l’ombre d’un dictateur aux crimes restés impunis, ils vont tout tenter pour prendre le Vampire de vitesse. Au péril de leur vie…

Biographie de l’auteur

Les auteurs exercent la même profession que leurs héros : ce qui donne à leurs romans une authenticité inégalée. Michael Baden est l’un des plus grands experts en médecine légale des Etats-Unis. Il est intervenu dans d’innombrables affaires criminelles, entre autres la mort du comédien John Belushi, l’examen des restes du tsar Nicolas II, les assassinats de John F. Kennedy et Martin Luther King. Linda Kenney, qui a remporté une douzaine d’actions en justice touchant à des questions de droits civiques, est apparue comme analyste juridique sur CNN, NBC et Court TV. Ensemble, ils ont déjà publié Seule la mort le sait (Robert Laffont, 2007).


Mes lectures de fin de semaine .

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Livre conseillé par mon ami Michel Filippi

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L’Ivresse et la paresse d’ Alain

Cotta : http://www.decitre.fr/livres/l-ivresse-et-la-paresse-9782213600581.html

Dan Fanté : Rien dans les poches .

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« Rien dans les poches » l’excellent roman de Dan Fanté vient d’être réédité  chez 13e note  :

http://fluctuat.premiere.fr/Livres/News/Un-roman-introuvable-de-Dan-Fante-reedite-chez-13e-note-3245386

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